Test : Scarlet Nexus, des pouvoirs phénoménaux dans un vrai mouchoir de poche

Géant du développement de jeux vidéo au Japon, Bandai Namco Studios est une institution riche de très nombreuses équipes, veillant sur le patrimoine historique du groupe, né en 2005 de la fusion de ses deux principales entités. Toutefois, aux côtés des licences star que sont Ace Combat, Tekken, SoulCalibur, Dragon Ball Z ou encore Tales of, Bandai Namco Studios se risque parfois à créer de nouveaux univers, comme ce fut le cas avec Code Vein sorti il y a deux ans de cela. Il se trouve qu’une partie de l’équipe ayant œuvré sur ce dernier - dont le producteur Keita Iizuka - a signé le jeu qui nous intéresse aujourd’hui: Scarlet Nexus. Avec son titre comme seuls les Japonais savent les imaginer, Scarlet Nexus se veut d’ailleurs une licence transverse puisque Bandai Namco s’apprête à en diffuser la série animée. Il faut dire que le jeu coche toutes les cases du shônen futuriste et que son système de combat tout feu tout flamme se prêtera à merveille à des scènes d’action « grand spectacle ». Alors tout ça, c’est bien beau, ça donne même un peu confiance dans les ambitions de la maison, mais en jeu ça donne quoi? On y vient.