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ATLAS un jeu de pirate par les créateurs de ARK
vendredi 7 décembre 2018, 14:49 , par NoFrag
Début novembre, en même temps que la sortie de Extinction, dernier DLC de ARK signant peut être la fin de la saga, on se demandait sur quoi allait donc bosser le studio Wildcard dans le futur. À l’occasion des Game Awards on a droit à un début de réponse avec l’annonce d’un nouveau MMO FPS/TPS: ATLAS. Les fondateurs du studio et créateurs de ARK, Jeremy Stieglitz et Jesse Rapczak, s’expliquent dans un billet posté sur le site du jeu et précisent qu’ATLAS sera développé par un nouveau studio, Grapeshot, fondé en partie par d’anciens membres de Wildcard et supervisé par nos deux compères Jeremy et Jesse. Le personnel resté à Wildcard continuera de bosser sur ARK, d’y apporter nouveautés et correctifs.
Et ATLAS sinon c’est quoi? D’après la page Steam, particulièrement fournie, il s’agit d’un MMO jouable en vue FPS ou TPS. Ainsi 40.000 joueurs pourront se retrouver sur une carte de 45.000 km² ne se contentant pas de la thématique de la piraterie puisqu’il semblerait qu’on y croisera aussi des créatures plus fantastiques. Un bon gros bordel en somme. La description annonce 700 îles à parcourir réparties dans 10 régions. Pour vous occuper, des cartes au trésor procédurales, des affrontements en PVP ou PVE – avec des serveurs seulement PVE pour les gros bébés – des conquêtes de territoires, etc. Une fois ces derniers réclamés vous pourrez apparemment y appliquer vos lois, taxes, etc. La construction sera évidemment toujours de la partie que cela concerne les bateaux ou les forteresses. Vous commencerez par exemple avec un petit navire que vous pourrez ensuite améliorer jusqu’au galion surarmé. Recrutez des joueurs ou des IA pour occuper les différentes postes du navire et sillonner les océans avec eux pour acquérir de l’expérience a dépenser dans 300 compétences au lancement du jeu. Et ça continue comme ça sur la page Steam avec encore de très (trop) nombreuses promesses. Dans la vidéo (en haut de cet article) on reconnait surtout les mêmes défauts jamais corrigés de ARK: Survival Evolved. Aucun feeling dans les combats, animations à la ramasse, framerate de jeu console, bordel visuel, etc. Et la fin où il me semble apercevoir un joueur chevaucher une sorte de dragon crachant des flammes ne va pas davantage me rassurer. On verra bien ce qu’il en est dès le 13 décembre, jour de sortie en accès anticipé (ah ah) du jeu sur Steam. Les développeurs prévoient déjà de bosser sur le jeu pendant approximativement deux ans.
https://nofrag.com/2018/12/07/126989/
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