Les FPS dont personne ne parle mais sortis cette semaine #25

Chaque semaine ou presque, je vous propose de faire un récapitulatif des FPS sortis dont personne ne parle et ne parlera, pour leur offrir un peu de lumière grâce à la notoriété internationale de NoFrag. Pour rappel, chaque dimanche soir, quelques FPS de cette liste sont testés sur notre chaîne Twitch.

Wand Wars: Rise, sorti le 10 février pour 8,19€

Un jeu de magicien à la première personne, ne vous laissez pas impressionner par le combat contre la gargouille. C’est dynamique, exigeant et nécessite de parler chinois parfois.

Zombie Killing Simulator, sorti le 11 février pour 12,49€

Difficile de faire un titre plus simple qui résume le jeu: tuer tuer tuer des zombies de toutes les manières possibles.

Eastshade, sorti le 13 février pour 20,99€

Incarnez un peintre itinérant dans cette aventure narrative à la première personne… le jeu est probablement disponible avec le pass culture.

Easter!, sorti le 13 février pour 0,79€

Explorer. Voilà. C’est le résumé du jeu sur la page Steam. Explorer. L’absence de son dans le trailer est normale je crois…

Plane Mechanic Simulator, sorti le 13 février pour 9,99€

Mécanicien de la RAF pendant la bataille d’Angleterre, rechargez les armes, réparez les moteurs, faites le plein… Encore un beau jeu dans la série des [ce que vous voulez] Simulator, et c’est toujours édité par PlayWay S.A.

Tobit, sorti le 14 février pour rien du tout

Un walking simulator relaxant (selon eux). Un truc chiant sans intérêt (selon moi).

Evospace, sorti le 14 février pour 7,39€

Un FPS sandbox où il semble possible de faire un beau pénis grâce aux outils de terraformation pour les artistes que vous êtes. Il y a un côté factorio pour les processus d’automatisation de la transformation de vos ressources…

Creepy Vision, sorti le 15 février pour 3,99€

Aucune idée. Rien compris. Mais c’est un truc qui fait peur avec des hommes-télévisions.

SOF Raiders, sorti le 16 février pour 3,99€

Ah les bons souvenirs des premiers Delta Force! Malheureusement nous sommes en 2019.