Post Scriptum sort un nouveau mode de jeu blindé

J’ai été invité samedi dernier à participer à la session de présentation du mode de jeu « Armoured ». Il y avait plein de streameurs et moi, avec ma connexion en carton, qui vous propose mon retour d’expérience à la bourre et en format texte.
Dans ce nouveau mode de jeu, vous combattez uniquement dans des véhicules, qui vont du blindé de reconnaissance au char de bataille. Les combats se déroulent à 12 contre 12 (donc grosso modo 40 joueurs de chaque côté) sur les cartes habituelles où les objectifs ont été changés. Il s’agit toujours de capturer des secteurs, qui deviennent autant de points de respawn pour les membres d’équipage. Les véhicules eux ne réapparaissent qu’à la base, il faudra repartir de zéro si le vôtre est détruit mais on peut facilement ramasser un copain en arrière du front si un obus lui a arraché la tête alors qu’elle dépassait de sa trappe.

Pour ce qui est du rythme, c’est fidèle à ce que propose le jeu en opérations combinées: beaucoup de marche, beaucoup de morts, une expérience qui dépend beaucoup du QI moyen du serveur. À ce propos, samedi c’était un peu le foutoir, Heinz Guderian a dû se retourner dans sa tombe. Par contre c’est une expérience rafraîchissante en tant que membre de d’équipage et il est possible de réellement mettre en œuvre des tactiques spécifiques au combat blindé qui sont irréalisables avec seulement 2 chars dans le mode de jeu classique. Pour ma part j’ai réussi à me rattacher à un équipage où jouait une connaissance d’ArmA 3 et on a rapidement foutu la taule à nos adversaires en communiquant un peu efficacement.
En conclusion le mode armoured est une bonne occasion de réinstaller ou relancer Post Scriptum pour se changer les idées en faisant un tour dans une boîte de conserve d’où vous ne verrez rien d’autre que les flammes de l’enfer qui vous dévorerons vif après qu’un canon de 88mm ait foutu le feu à vos munitions. Et si vous avez lu jusqu’ici, je donnerai une clé CD du jeu aux deux plus beaux dessins de chars postés en commentaire. Je serais le seul juge de la qualité artistique et ce jugement sera totalement irrationnel. À vos crayons.