Test - Left Alive mériterait qu'on l'abatte

“Un Paris-Brest avec ton irish coffee?” Rétrospectivement, on devrait se méfier de toute débauche de gentillesse avant d'hériter de Left Alive en test. Développé par un Square Enix qu’on avait connu en meilleure forme, ce *spin-off *de Front Mission, à mi-chemin entre l’infiltration et la survie dans des environnements semi-ouverts, avait pourtant de quoi intriguer. Pensez-vous: un complot politique, des mechas et Yôji Shinkawa aux artworks… Sur le papier c'est même carrément vendeur. Mais Left Alive enchaîne les bourdes, les bugs et les aberrations de game design avec une telle maestria qu’il parvient à s’ériger en véritable parangon de l’accident industriel. Autopsie.