Test : Avatar : Frontiers of Pandora, à la frontière de l'originalité

Même si la licence Avatar est loin de faire l’unanimité pour des raisons que nous n’avons a priori pas besoin de citer, James Cameron est forcément très attaché à son labeur du cœur de plusieurs décennies. Apparemment plutôt satisfait par le jeu Avatar de 2009, le réalisateur décide de rempiler avec Ubisoft pour Avatar: Frontiers of Pandora. Plus gros et plus ambitieux, la dernière production de Massive est un jeu en monde ouvert encore assez classique et qui ressemble presque à une répétition avant la grand-messe Star Wars Outlaws.