Test : Dans Dragon Quest Monsters, Le Prince des ombres fait tout ce qu'il veut

Dans une époque où même le plus claqué des gachas peut se targuer d'une sortie en Occident, l'annonce de Dragon Quest Monsters: Le Prince des ombres s'est réalisée sans tambour. Pourtant, il s'est bien écoulé plus d'une décennie depuis la dernière arrivée de la série de spin-off chez nous, après les années de disette qui caractérisèrent la génération 3DS avant l'éventuel renouvellement de la marque par le succès de son onzième épisode canonique. Plus proche d'un Shin Megami Tensei que de Pokémon, Monsters pourrait s'appeler Gaiden s'il ne mettait pas tant en avant le riche bestiaire de la série: il s'agit presque toujours d'histoires annexes aux grands volets de la saga, avec le légendaire Dragon Quest IV en toile de fond pour ce cru sur Nintendo Switch. Il reste désormais à découvrir s'il mérite sa place dans la mythologie.